Voici quelques autres histoire d’anges :

Rebecca, 41 ans, psychanalyste,

« J’ai toujours senti la présence de mon ange gardien. Enfant, je lui parlais, naturellement. En intégrant une école catholique, à l’âge de 6 ans, je l’ai remplacé par Dieu, puisque l’on me disait que c’était à lui que je devais m’adresser. Mais je continuais à sentir sa présence. Et puis, un jour, il m’a sauvée. J’avais 7 ans. Je me trouvais dans le petit parc derrière l’immeuble où j’habitais. Je rentrais chez moi, quand un homme que je n’avais jamais vu s’est approché et m’a dit : “Bonjour Rebecca, ta maman – il a dit son prénom – m’a demandé de venir te chercher.” Je n’étais pas plus affolée que ça lorsque j’ai entendu très clairement dans ma tête une voix qui disait : “Non, non, cours, enfuis-toi !” C’est ce que j’ai fait. Le soir, ma mère m’a dit qu’elle n’avait jamais rien demandé à personne.

Jusqu’à 15 ans, j’ai senti la présence de cet ange, et après, c’est comme si je m’étais déconnectée. Pendant vingt ans, j’ai construit ma vie de famille et ma vie professionnelle. Et puis, il y a eu le décès de mon frère et, à cette occasion, la reconnexion avec mon ange gardien. Pendant cette période très dure, j’ai à nouveau senti sa présence, son soutien ; il me facilitait les choses, y compris matériellement. Je ne vis pas d’expériences extraordinaires, je n’ai aucune certitude, juste un ressenti très fort. Les signes et les réponses que je reçois font sens pour moi. Cette connexion m’apporte de la sérénité et aussi plus de conscience : je me sens plus présente à moi-même et aux autres. »

Olivier, 48 ans, avocat,

« Si l’on m’avait dit que je témoignerais un jour pour parler de mon ange gardien et que je tiendrais un blog dédié à la spiritualité, j’aurais éclaté de rire. Je suis avocat et d’une nature cartésienne, cela fait deux bonnes raisons pour douter de tout. Et pourtant… Tout a basculé il y a dix-huit mois, lorsque j’étais au plus bas. J’avais perdu le goût de vivre, je noyais ma dépression dans l’alcool. Ce n’est pas une image, j’étais vraiment alcoolique. Et puis, un matin, devant mon café, j’entends une voix, en moi, qui me dit : “Tu ne boiras plus.” Ce n’est ni une injonction ni une résolution, c’est une annonce ! Ce qui est encore plus fou, c’est que, dans la journée même, j’ai perdu l’envie de boire. Comme ça, sans lutte, sans effet de manque et sans rechute. J’ai cherché des explications rationnelles, je n’en ai pas trouvé. Une seule faisait sens : c’était la voix de mon ange gardien. D’autant plus que cela ne s’est pas arrêté là. Les signes et les manifestations de protection et d’aide se sont multipliés. Chaque fois que je lui demande de l’aide ou un conseil, des réponses me parviennent sous forme de synchronicités limpides. Aujourd’hui, je sais une chose, et c’est peut-être la seule certitude que j’ai : nous ne sommes jamais seuls. C’est cela que je veux dire à tous ceux qui me liront. »

Bernard, 25 ans,

« Je suis Catholique, et je dormais toujours avec mon chapelet. Un jour vers 5h30 du matin j’ai senti comme une présence dans ma chambre et une sensation de très grande paix que je n’ai jamais senti jusqu’à ce jour, j’étais l’homme le plus heureux de la planète ; j’ai commencé à égrainer mon chapelet, j’ai prié avec cet ange qui était là devant moi que je sentais bel et bien présent. Quand j’ai fini avec le chapelet, l’ange est parti avec toute la sensation de paix et de bonheur que je sentais ; une odeur de parfum a envahi toute la chambre et finalement toute la maison; j’ai réveillé mon père pour lui demander s’il sentait l’odeur du parfum, mais non, j’étais le seul à le sentir. »

Mohammed, 27 ans,

Habite en Égypte, il a découvert l’Évangile pendant qu’il étudiait pour devenir juge islamique. Il s’est senti poussé à prier Jésus pour lui demander qu’il se révèle à lui. Il abandonne ses études et achète un tricycle taxi. Une nuit, il conduisait un couple le long de la route principale quand il a été aveuglé par les phares d’un camion qui les a poussés vers un fossé profond de quatre mètres. Deux des trois roues étaient déjà dans le vide et ils s’attendaient à s’écraser en contrebas. Les passagers hurlaient de peur, Mohammed a invoqué le nom de Jésus. C’est alors qu’il a vu un ange blanc soulever le taxi et le reposer délicatement sur la route. La femme qui venait de hurler, s’était tue comme inconsciente. Quand elle est revenue à elle, elle répétait sans cesse: « Avez-vous vu cette chose blanche ?»