Les trois jours de ténèbres

Il y a deux ans pour la fête du 2 février j’avais écrit ce texte :

https://annickpage.fr/2021/02/02/aujourdhui-2-fevrier-fete-de-la-purification-de-la-vierge-marie-et-presentation-de-jesus-au-temple/

qui rappelait que les cierges bénits ce jour et allumés auprès d’un mourant pouvait lui faciliter le passage dans l’au-delà.

Or, il y a deux jours, à la messe, lors de cette fête, le prêtre, au cours de son sermon, nous a rappelé l’importance d’avoir chez soi quelques cierges bénits afin de traverser au mieux les trois jours des ténèbres annoncés par maints prophètes, dont le saint Padre Pio.

Voici la prophétie qu’il a reçu du Christ :

« Je vous donnerai un signe pour vous indiquer le commencement du grand jugement : en une froide nuit d’hiver, je ferai retentir le tonnerre qui fera vibrer les montagnes. Alors fermez vos fenêtres et ne regardez pas dehors »

(Marie Julie Jahenny a précisé que ce serait une nuit d’un mercredi à un jeudi d’un mois de mars.)

Reprise de la prophétie : « Ce sera le premier jugement qui purgera la terre afin que tout soit renouvelé. Ce châtiment directement de Dieu anéantira tous les impies. Seuls survivront les justes demeurés en prière dans leurs demeures fermées. Nulle lumière ne pourra être faite. Seuls les cierges bénits éclaireront les maisons des justes. Après ces 72 heures ; le jour illuminera la terre qui sera devenue semblable à un désert….

…Dans les ténèbres, Ma lumière résidera dans vos cœurs.

N’ayez pas peur de ces  » trois jours au tombeau  » que Je vous annonce, précédant Mon retour en Gloire dans les cœurs. Ce temps sera terrible d’incompréhension pour les impies et douloureux pour ceux qui M’aiment mais ils seront dans la joyeuse espérance de Ma venue. Douloureux car les fils de la lumière souffriront du triomphe apparent des ténèbres.

Des cierges en cire bénits pourront seuls donner de la lumière pendant cette terrible obscurité. Un seul cierge suffira pour les trois jours, mais dans les maisons des impies ils ne donneront aucune lumière… Les démons apparaîtront sous les formes les plus hideuses et les plus épouvantables. Vous entendrez dans l’air les blasphèmes les plus horribles. Les éclairs pénétreront dans vos demeures sans pouvoir éteindre la lumière des cierges.  La terre deviendra un vaste cimetière. Les trois quarts des hommes périront par tous ces châtiments. Lorsque le tonnerre résonnera avec une telle force que les montagnes frémiront, cachez-vous du monde extérieur, et ne vous laissez pas aller à des regards curieux en contemplant ces terribles événements. Priez alors et faites pénitence… Le terrible fléau durera 72 heures. Les impies seront pulvérisés et beaucoup seront perdu dans l’obstination de leurs péchés. Quelques-uns tomberont dans un profond sommeil que je leur accorderai pour les rendre inconscients de ce qui se passe sur la terre…. Les familles devront être continuellement en prière. Pendant les trois jours de noirceur, il n’y aura plus de démons en enfer. Ils seront tous sur terre. Ces trois jours seront si noirs que quelqu’un ne pourra voir ses propres mains. Ceux qui ne seront pas en état de grâce mourront de frayeur provoquée par la vue d’horribles démons ou bien ils mourront de démence. Fermez vos maisons et ne regardez pas dehors. Car trois fois sainte est la colère de Dieu qui purifiera la terre. Placez-vous sous la protection de ma Mère… Priez au pied de la Croix, invoquez vos anges gardiens. Priez pour le salut des pécheurs si lâches ; pour les prêtres infidèles, obtenez-leur la contrition parfaite à l’heure de la mort. Durant les trois jours des ténèbres la lumière artificielle sera impossible. Seuls les cierges bénits brûleront durant ces trois jours.

Les fidèles devront rester dans leurs maisons à prier le Rosaire et à demander à Dieu la miséricorde. Tous les ennemis de l’Eglise, visibles et inconnus, périront sur toute la terre durant cette obscurité universelle à l’exception de quelques-uns qui se convertiront.

Plusieurs seront enlevés de votre terre… Nombre de vos médias d’informations affirmeront qu’ils ont été enlevés par des soucoupes volantes.

Oh non mes enfants, ils auront été transportés dans un domaine surnaturel du Père Eternel pour attendre le retour de Jésus sur terre…. L’Antéchrist tombera, il sera plongé pour jamais avec tous les siens dans les gouffres éternels de l’enfer.

Après que tous les pays aient été sinistrés par la guerre et la guerre civile puis par cette ténèbre de trois jours, il ne restera qu’un quart de l’humanité.

Ce fléau terrible sera dirigé uniquement contre les impies ; ce sera un fléau tout nouveau qui n’a jamais encore eu lieu. Ce fléau se fera sentir dans le monde entier et il sera si terrible que ceux qui y survivront s’imagineront être les seuls épargnés, et tous seront bons et repentants. Ce fléau sera instantané, de courte durée, mais terrible.

Le fléau de la terre sera mitigé par les prières, mais non celui du ciel qui sera horrible, épouvantable, universel. Aussi longtemps que dureront les ténèbres, il sera impossible de faire de la lumière…

Celui qui, par curiosité, ouvrira les fenêtres ou regardera dehors, ou qui sortira par la porte, tombera mort à l’instant même…

Les châtiments seront communs au monde entier et se succéderont sans interruption… – Les trois quarts des hommes périront… Il ne restera sur terre que très peu de lieux solides… Ce sera trois jours de ténèbres physiques. Pendant trois nuits et deux jours, il y aura une nuit continuelle…

Les fracas du tonnerre ébranleront la terre. Des éclairs sinistres sillonneront les rues dans une saison où ils ne se produisent jamais. La terre sera remuée jusque dans ses fondements.

La mer soulèvera des vagues mugissantes, qui se répandront sur le continent… certaines côtes françaises se soulèveront de vingt-cinq à trente-cinq mètres…

Les jours de noirceur dureront 72 heures exactement.

Votre seule façon de voir quand ils seront terminés, c’est de vous procurer une horloge à ressort parce qu’il n’y aura pas d’électricité.

Quand par une très froide nuit d’hiver, le tonnerre grondera à faire trembler les montagnes, alors fermez vite portes et fenêtres. Vos yeux ne doivent pas profaner le terrible événement par des regards curieux. Réunissez-vous en prière devant le crucifix. Placez-vous sous la protection de notre Très Sainte Mère…

Pa ruse, les démons imiteront au dehors la voix d’époux ou d’épouse, de parents, d’enfants ou d’amis, séparés par la venue subite de ce châtiment, demandant de l’aide. Il est absolument conseillé de ne céder sous aucun prétexte à cette terrible illusion. La mort suivrait aussitôt la sortie de la maison ou même l’ouverture de ses accès.

Les cierges bénits donneront seuls de la lumière. Un seul cierge suffira dans chaque maison pour les trois jours de ténèbres. Ils ne donneront pas de lumière dans les maisons des impies et des blasphémateurs.

Après les trois jours de noirceur, ce sera comme le printemps, tout sera vert et propre. La plus belle chose de toutes sera la manière de vivre des gens. Ils ne travailleront pas pour survivre mais pour la charité, chacun aidant l’autre. »

Alors demandez à vos prêtres de vous fournir des cierges bénits car, au début des années 60, à un couple de fidèles d’une soixantaine d’années qui demandaient au Padre Pio s’il verrait les trois jours de ténèbres, il répondit : « Non, pas moi, mais vous, peut-être, et vos enfants sûrement ! ».

Saint Padre Pio est mort en 1968…. Que ceux qui ont des oreilles entendent !!!

Nouvel an 2022

Et nous voilà à nouveau au début d’une nouvelle année que nous espérons tous bonne et heureuse et tranquille, aspirant à vivre dans la paix et l’amour.

Seulement voilà, les évènements que nous subissons depuis bientôt deux ans, nous font nous sentir plus ou moins confus, déprimés, anxieux, rappelons-nous que Tout est Grâce et que toute épreuve est là pour nous rendre plus forts dans le temporel, et… plus doux dans le spirituel, plus combatifs dans ce monde et… plus dociles à la volonté divine, chacun à sa mesure, selon ses capacités et ses aspirations. « Aide-toi et le ciel t’aidera » !

Je vous mets ci-dessous la prière que le Padre Pio, à la fin de chacune de ses messes, récitait pour supplier Jésus de ne pas le quitter, et la vidéo dite magistralement par Michaël Lonsdale.

Restez avec moi, Seigneur, car il est nécessaire de Vous avoir près de moi pour ne pas Vous oublier. Vous savez avec quelle facilité je Vous abandonne.

Restez avec moi, parce que je suis faible et j’ai besoin de Votre force pour ne pas tomber si souvent.

Restez avec moi, Seigneur parce que Vous êtes toute ma vie, et sans Vous, je suis sans ferveur.

Restez avec moi, parce que Vous êtes ma lumière, et, sans Vous, je suis dans les ténèbres.

Restez avec moi, Seigneur, pour que j’entende Votre voix et que je Vous suive.

Restez avec moi, Seigneur, parce que je désire Vous aimer et être toujours en Votre compagnie.

Restez avec moi, Seigneur, parce que si pauvre que soit mon âme, elle désire être pour Vous un lieu de consolation, un nid d’amour.

Restez avec moi, Jésus, parce qu’il se fait tard et que le jour décline : la vie passe, la mort, le jugement, l’éternité approchent. Je crains les ténèbres, les tentations, les sécheresses, les croix, les peines. Oh ! Combien j’ai besoin de Vous dans cette nuit de l’exil ! Que la Communion eucharistique soit la Lumière qui dissipe les ténèbres, la Force qui me soutienne et l’unique Joie de mon cœur.

Restez avec moi, Jésus, je ne demande pas des consolations divines parce que je ne les mérite pas, mais, le don de Votre présence. O oui, je Vous le demande.

Restez avec moi, Jésus, c’est Vous seul que je cherche, votre Amour, votre Grâce, votre Cœur, votre Esprit, parce que je Vous aime et ne demande pas d’autre récompense que de Vous aimer davantage. Ainsi soit-il !

Pensons à Le supplier, nous aussi, pour qu’il soit près de nous en ces temps douloureux !

Le Padre Pio et le Purgatoire

Voici quelques autres témoignages du Padre Pio :

Padre Giuseppe Antonio était malade au couvent de Foggia. Le 30 Décembre 1936, Padre Pio, à sa demande, pria pour lui parce que sa santé se détériorait. Cette nuit-là, quelqu’un frappa à la porte de Padre Pio et Padre Giuseppe entra : « Comment allez-vous ?, dit le Padre Pio, on m’a dit que vous étiez gravement malade et maintenant je vous vois ici. » « Je vais bien, répondit Padre Giuseppe, toutes les souffrances ont pris fin, et je suis venu vous remercier pour vos prières. » Puis il disparut.

Padre Pio a dit aux autres frères ce qui s’était passé.  Personne ne savait encore que le Père Giuseppe était mort. Plus tard, ils ont découvert qu’il était mort au moment même où il avait visité Padre Pio.

En mai 1922, Padre Pio, alors qu’il se trouvait au couvent un soir d’hiver après une forte chute de neige, était assis près de la cheminée dans la salle de communauté, absorbé dans sa prière, lorsqu’un vieil homme, portant un manteau démodé encore porté par les paysans du sud de l’Italie à l’époque, s’assit à côté de lui.

A propos de cet homme, Padre Pio déclara : « Je ne pouvais pas imaginer comment il avait pu entrer dans le couvent à cette heure de la nuit, car toutes les portes étaient fermées.

Je l’ai interrogé : « Qui es-tu ? Que veux-tu ? ».

Le vieil homme répondit : « Padre Pio, je suis Pietro Di Mauro, fils de Nicola. » Il poursuivit en disant : « Je suis mort dans ce couvent le 18 septembre 1908, dans la cellule numéro 4, alors que c’était encore un hospice. Une nuit, alors que j’étais au lit, je me suis endormi avec un cigare allumé, qui a enflammé le matelas et je suis mort, étouffé et brûlé. Je suis encore au purgatoire. J’ai besoin d’une sainte messe pour être libéré. Dieu a permis que je vienne vous demander de l’aide ».

Après l’avoir écouté, Padre Pio lui répondit : « Soyez assuré que demain je célébrerai la messe pour votre libération ».

Padre Pio se leva et accompagna cet homme jusqu’à la porte du couvent. Il se rendit compte alors que la porte était fermée et verrouillée : il l’ouvrit et lui dit adieu. La lune éclairait la place, couverte de neige. Padre Pio eut un drôle de sentiment quand l’homme disparut sans laisser de traces dans la neige.

Il referma la porte et retourna dans la salle de communauté où il expliqua à ses confrères ce qui venait de lui arriver.

Quelques jours plus tard, Padre Pio raconta également l’histoire à Padre Paolino, et tous deux décidèrent de se rendre à la mairie, où ils consultèrent les registres d’état civil de l’année 1908 et découvrirent que le 18 septembre de cette année-là, un certain Pietro Di Mauro était effectivement mort de brûlures et d’asphyxie dans la chambre numéro 4 du couvent, alors utilisé comme foyer pour les sans-abris.

Padre Pio a raconté cette autre histoire à Padre Anastasio. « Un soir, alors que j’étais seul au chœur pour prier, j’ai entendu le froissement d’un habit et j’ai vu un jeune moine qui s’agitait près du maître-autel. Il semblait que le jeune moine époussetait les candélabres et redressait les vases de fleurs.

J’ai pensé que c’était Padre Leone qui réarrangeait l’autel et, comme c’était l’heure du souper, je suis allé le voir et je lui ai dit : « Padre Leone, allez dîner, ce n’est pas le moment de faire la poussière et de redresser l’autel ».

Mais une voix, qui n’était pas celle du Padre Leone, m’a répondu : « Je ne suis pas le Père Leone ». « Et qui êtes- vous ? », lui demandai-je.

« Je suis un de vos frères qui a fait son noviciat ici. On m’avait ordonné de nettoyer l’autel pendant l’année du noviciat. Malheureusement, plusieurs fois, je n’ai pas fait la génuflexion à Jésus en passant devant l’autel, provoquant ainsi un manque de respect pour le Saint-Sacrement conservé dans le tabernacle. Pour cette grave négligence, je suis encore au purgatoire. Or, Dieu, avec sa bonté infinie, m’a envoyé ici pour que vous accélériez le temps où je jouirai du Paradis. Prenez soin de moi. »

En croyant être généreux envers cette âme souffrante, je me suis exclamé : « Tu seras au Paradis demain matin, quand je célébrerai la Sainte Messe ».

Cette âme a crié : « Que tu es cruel ! » Puis il pleura et disparut.

Cette plainte a produit en moi une blessure au cœur que j’ai ressentie et que je ressentirai toute ma vie. En fait, j’aurais pu envoyer immédiatement cette âme au Ciel, mais je l’ai condamnée à rester une nuit de plus dans les flammes du Purgatoire ».

Padre Pio a dit du Ciel et du Purgatoire :

« … La nuit, quand je ferme les yeux, le voile se lève et je vois le paradis s’ouvrir devant moi, et réjoui par cette vision, je dors avec un sourire de béatitude douce sur mes lèvres et une physionomie parfaitement tranquille… »

« Il y a plus d’âmes des morts du Purgatoire que des vivants qui gravissent cette montagne pour assister à mes messes et chercher mes prières. »

« Vous serez surpris de trouver au Paradis, des âmes que vous n’auriez jamais attendu d’être là. »

« La plupart des sauvés passent par le purgatoire avant d’arriver à la béatitude. »

Gerardo De Caro a eu de longues conversations avec Padre Pio en 1943. Dans ses notes écrites, il témoigne : « Padre Pio avait une connaissance exacte de l’état d’une âme après la mort, y compris la durée de la douleur jusqu’à ce qu’elle atteigne la purification totale. »

Le pape Pie XII est mort à Castelgandolfo le 9 Octobre, 1958. Ce jour-là, Padre Pio a dit un moine : « Pie XII est dans les cieux, Je l’ai vu pendant la messe. »

Padre Pio a dit à Cléonice Morcaldi, un mois après la mort de sa mère : « Ce matin, votre maman a volé au Paradis, je l’ai vue pendant la messe. »

Florence Fin Ehrman a demandé des prières au Padre Pio pour son père atteint en 1965 par une sclérose latérale amyotrophique. Son père décéda en janvier 1966. Elle est allée voir Padre Pio en Octobre 1967 demandant si son père, un Juif pieux, avait été sauvé. « Julius Fin est sauvé, mais nous devons beaucoup prier pour lui. »

Une nuit, en 1944, dans le couvent du Padre Pio, les frères ont entendu des éclats de voix venant d’en bas disant « Viva Padre Pio ». Le supérieur Padre Raffaele dit au portier de faire partir ces gens et de verrouiller la porte correctement.  Frère Gerardo descend et ne trouve personne, la porte était fermée à double tour comme il était censé le faire chaque soir. Il retourne le signaler. Padre Raffaele a été étonné et alla droit voir Padre Pio pour lui demander s’il savait quelque chose.  » Oh ! Ce sont des soldats, morts sur le champ de bataille, qui sont venus me remercier pour leur salut. »

En 1945, Fra Modestino demanda à Padre Pio une comparaison entre un feu sur le foyer et les flammes du purgatoire.  « Ils se comparent comme l’eau douce et l’eau bouillante. »

Un jour, Padre Pio dit à son médecin : « Je prie pour la bonne mort de mon arrière-arrière-grand père. »  « Mais il est mort il y a plus de cent ans !  » « Rappelez-vous que pour Dieu il n’y a ni passé ni avenir, et tout est présent. Alors Dieu a fait usage à cette époque de la prière que je dis maintenant. « 

Un frère a témoigné : « Nous étions tous dans la salle à manger et Padre Pio s’est soudainement levé et a marché à un rythme régulier vers la porte du couvent. Il l’ouvrit et commença à avoir une conversation ; les deux frères qui étaient allés avec lui ne voyaient personne, et tout le monde a commencé à penser que quelque chose n’allait pas pour Padre Pio. Sur le chemin du retour vers la salle à manger, Padre Pio a expliqué : « Ne vous inquiétez pas. Je parlais à quelques âmes sur le chemin du purgatoire au paradis. Elles sont venues me demander de me rappeler d’elles, aujourd’hui dans la Messe « 

Une fois, quelqu’un a demandé à Padre Pio comment pouvait être évité le Purgatoire. Il a répondu : « En acceptant tout, de la main de Dieu. Offrant tout à Lui avec amour et reconnaissance, ce qui va nous permettre de passer de notre lit de mort au paradis. »

Nina Campanile avait un frère Pasqualino qui est mort au combat le 26 Septembre 1916. Elle alla demander à Padre Pio si Pasqualino avait été sauvé. « Oui, il est sauvé, mais il a besoin de vos prières. » Elle a demandé à nouveau à Noël 1918. « Il est là-haut ! « 

Carmela Marocchino demanda à Padre Pio si ses parents étaient sains et saufs. « Même si vos parents sont au Paradis, nous devons continuer à prier. S’ils n’ont pas besoin de prières, vos suffrages sont appliqués à d’autres âmes. »

« Quand nous prions pour les âmes du Purgatoire, nous serons toujours payés de quelque chose en retour. »

(A suivre)